Où sont nos enfants ???
Vos enfants ont disparu avec leur mère ? Vous les cherchez partout et personne ne vous a rien dit ? Le site de la CAF indique soudainement que vous êtes « séparé », et les allocs se sont évanouies comme par magie ?
Si vous recherchez désespéramment vos enfants qui ont disparu avec leur mère lors d’une phase difficile de votre couple, alors ne cherchez plus : sur Périgueux, ils sont hébergés et résident très probablement au 61 Rue Lagrange Chancel (ASD) ou dans les logements au 141 Rue Combe des Dames (Apare). Les entrées y sont sécurisées comme dans les banques, et les accès protégés par des batteries d’assistantes sociales dont on se demande si elles ne sont pas formées aux arts martiaux. Il ne manque plus que les chiens loups. Des hébergements d’urgences sont également présents au 41 Rue Charnay Frachet.
(Si vous en connaissez d'autres, envoyez-les nous afin que nous puissions mettre-à-jour cette liste).
l'APARE et l'ASD se sont emparés de vos petits, avec l'aide de leurs copains satellites. Et vous allez avoir du mal à les récupérer.
Petit détail amusant : si tel était le cas, alors vos enfants sont mélangés avec les sans-abris secourus, les clandestins, et les libérés de prison en phase de réinsertion. Mais soyez rassuré, car l'assistance publique prend soin de tout. Donc tout va bien, n'est-il pas ?
Une mécanique bien huilée et à sens unique
De part son mode de fonctionnement, le système judiciéro-social aide les mères à légalement s'approprier et voler les enfants du couple quand elles le désirent. Les structures d'aides et d’accompagnement de ces dames connaissent toutes les ficelles des procédures. Et tenez-vous bien, elles les poussent et les aident dans cette entreprise.
En premier, elles cachent les mères et les enfants, en s’appuyant sur un réseau d’avocats spécialisés (dont elles sont apporteurs d’affaires), et en fournissant toute la logistique et l’accompagnement nécessaire à la réalisation de cette entreprise immorale et surtout destructrice pour nos enfants, l’exclusion parentale. C'est systématique, et elles ne vérifient jamais les raisons des demandes. D'ailleurs elles le font même si les mamans ne le demandent pas.
Ensuite, elles refusent constamment de communiquer avec le père. Elles ne lui répondent ni au téléphone, ni par courrier (même recommandés avec A.R.). Si un jour le téléphone ne lui est pas raccroché au nez, quelqu'un de très agressif lui dira « Nous sommes ici pour soutenir, alors on soutient. Et je n'ai pas été mandaté pour vous parler » avant d'interrompre brutalement la conversation.
Enfin, ces structures extrémisent les procédures. Les avocates demandent le droit de visite médiatisé sans raison valable (c'est-à-dire visite uniquement de quelques heures par mois sous surveillance et caméra, comme pour les drogués et les criminels), et ce juste pour le principe de limiter les droits du père et d'augmenter ceux de la mère. Moins les pères ont de droits sur leurs enfants, et plus les personnes de ces structures crient victoire. Elles renforcent la mère dans le conflit, et lui expliquent qu'il faut abandonner toute bonne volonté. Dans certains cas, la mère est d'accord pour que le père voit ses enfants ou leur téléphone durant des moments importants (noël, nouvel an, etc.), mais ce sont ces services sociaux eux-mêmes qui le refusent. Ces structures recherchent la privation d'autorité parentale paternelle, et se plaignent quand elles ne l'obtiennent pas.
Bienvenue dans la dérive fanatique et militante
Animées et organisées par d’anciennes victimes de violences, ces organisations ont sombré dans un militantisme forcené anti-homme et anti-père qui les pousse à tout faire pour que ceux-ci, sur simple demande de la maman ou présomption d’on ne sait quoi, perdent tout contrôle sur le suivi et l’éducation de leurs enfants.
La présomption d’innocence, le droit de contradiction, l’égalité parentale et le respect de l’autre sont des notions inexistantes pour ces structures animées par des personnes se comportant comme des militantes hystériques et agressives du soutien des droits des femmes.
Il est extrêmement difficile de les attaquer juridiquement car elles connaissent les textes de lois et se placent sciemment dans les zones d’ombres. Par exemple, les avocats disent qu’ils ne peuvent pas attaquer une association loie 1901 pour déscolarisation, car « une association qui va chercher les enfants dans les écoles, cela n’existe pas ». En bref et pour résumer, ces structures se protègent en disant qu’elles ne font que rendre un service à la mère quand elle le leur demande (protection, adresse secrète, enfants cachés, changement de ville sans notification au père, déscolarisation des enfants, etc.), alors qu’il est évident que tout est fait à leur initiative et que ce sont elles qui conseillent et mettent en place les enlèvements d’enfants, les éloignements géographiques volontaires, les mesures de protection administratives, et les mécanismes d’exclusion parentale du père.
Nous avons des cas où la maman ne parlait pas français et ne savait même pas ce qu’était une assistante sociale et un psychologue : les dépôts de plaintes ont été remplis à sa place (pas de traducteur indiqué sur le PV), les enfants déplacés à 1h de route de leur lieu de vie initiale, mesures de protection, et surtout création de fausses allégations de violence contre le père pour faire obtenir son titre de séjour à la mère (la violence est un motif d'attrribution de carte de séjour pour les sans-papiers). Le tout bien évidemment sans aucune communication ni prise d’information auprès du père et de l’entourage du couple avant la crise. Le fait que le père ait produit quantité de témoignages pour prouver sa bonne foi n'a eu aucune espèce d'importance dans le déroulement des opérations.
Des armes de destruction massive qui ravagent tout sans réfléchir
En effet, si Madame va voir ces structures en leur racontant qu’elle a un souci conjugal, les intervenants locaux mettront en œuvre leurs procédures habituelles, sans réfléchir ni chercher à comprendre : « Ne vous inquiétez pas Madame, asseyez-vous là et ne bougez plus, on s’occupe de tout ». Sans passer par le procureur ni le juge des enfants, et donc en l'absence totale de décision judiciaire, Madame va se voir totalement prise en charge par des intervenants professionnels et bénévoles extrêmement motivés dans leurs missions :
- On lui fera demander le divorce. Et puis un devoir de secours, et une pension alimentaire pour les enfants. Mieux, on le fera pour elle : il faut bien aller chercher l’argent là où il se trouve, et justifier des subventions et demandes de créations de poste... D’ailleurs, les avocats sont dans le bureau d’à côté : pour certain il s’agit d’une part importante de leur fonds de commerce, et ils attendent. Que Madame ne parle pas français n’a aucune importance, dans ce cas tous les documents et dépôts de plainte seront remplis à sa place. Que son histoire soit fausse, erronée ou incomprise ne compte pas non plus (Nous y reviendrons). Aucune sorte de négociation ou de médiation ne sera jamais envisagée : le divorce, le conflit, la guerre, la rupture, l'épreuve de force, ne sont pour eux que les seules options valables. L'habitude s'est installée, la résistance au changement fait le reste...
- Madame aura immédiatement un logement d’urgence. Secret, caché, et confidentiel. Comme les bâtiments prévus ont un nombre de place limité mais que les intervenants lancent les procédures d’hébergements d’urgence comme des Lucky Luke, Madame et les enfants commenceront très probablement leur périple en déménageant tous les jours dans des hôtels et des appartements temporaires, jusqu’à ce qu’une place se libère dans une des adresses ci-dessus. Elle aura alors un 2 pièces tout à fait acceptable, et à un tarif défiant toute concurrence. Tout cela doit coûter un maximum d'argent... Mais ce n’est pas grave, c’est le Conseil Départemental qui paye.
- Si Madame insiste un peu sur un sentiment d’insécurité ou une inquiétude pour les enfants, des mesures de déscolarisations seront prises en moins de 24 heures : des gentils messieurs/dames en costumes flambants neufs et cartes de visites clinquantes iront chercher les enfants dans les écoles en expliquant à tout le monde que Monsieur est un salaud, et que leur mission est de protéger les petits. Ceux-ci seront récupérés dans leurs salles de classes durant les heures de cours, évacués par la porte de derrière de l’établissement scolaire, mis dans une voiture, et changé de ville (et d’école). Notons qu’à ce stade, aucune vérification sur la véracité des allégations ou sur la réalité du danger potentiel n’a été faite, et que personne n’est allé dire quoi que ce soit au père. Mais ce n’est pas grave : « Je pompe donc je suis » et « Il vaut mieux pomper d'arrache pied même s'il ne se passe rien que de risquer qu'il se passe quelque chose de pire en ne pompant pas » (Jacques Rouxel, Les Shadoks, 1968).
- Mise en place des procédures de secret et bourrage de crâne des enfants : « Il ne faut JAMAIS donner l’adresse à papa. Vous entendez bien les petits ? C’est bien compris ? ». Appartement qui protège (de papa), gens qui aident (contre papa), les enfants vont être totalement immergés et impliqués dans le conflit familial. On va leur demander de mentir, de cacher les détails de leur vie, et ce parfois durant des années (les procédures de la justice familiales ne sont pas réputées pour leur rapidité). Le père ne doit RIEN savoir de la vie de ses enfants (hormis les coordonnées bancaires pour envoyer les sous).
- Tiens d’ailleurs, l'argent : parlons en. En liaison directe avec la CAF, les dossiers sont mis à jour quasiment en temps réel. Actualisation du statut en mode « séparé », changement du mot de passe de l’accès à l’interface web, redirection des allocations sur le compte exclusif de Madame. Tout va très vite. Ces gens ont visiblement leurs entrées à la CAF, et ils ne se privent pas pour les utiliser. Au point que l’on se demande d’ailleurs parfois jusqu’où va la collusion entre les intervenants et les structures.
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Assistance juridique totale : accompagnement au tribunal (jusqu’à 5 personnes, ça impressionne...), coaching durant les procédures avec le juge et les experts… D’ailleurs les experts ils les connaissent, ils ont l’habitude de travailler avec. Il doit y avoir 5 enquêtrices sociales pour tout le département, et devinez quoi ? Ce sont des ex-assistantes sociales, parfois même des anciennes collègues !
Tout est extrêmement bien huilé, même les traducteurs sont habitués à recevoir leurs consignes avant d’intervenir (dans certains cas ce sont directement eux qui parlent pendant que la maman ne prononce que des onomatopées pour signifier qu’elle est d’accord). Les vices, les zones d’ombres, les usages locaux, ces gens connaissent tout. S’ils veulent que vous ne voyiez pas vos enfants, vous ne les verrez pas. - Dispositifs de formation et d’intégration pour la maman. Elle passe en priorité absolue devant tout le monde. Les formations peuvent être rémunérées. L’accompagnement pour trouver un emploi est réel, et il est très personnalisé. Ce point est certes positif dans l'absolue, mais il est dommage que le mensonge et la volonté d'appropriation de l'enfant soient ainsi encouragés et aient pour conséquence de pouvoir passer devant les autres.
- Un accès direct au Centre Médico Psychologique de l’hôpital local pour les enfants quelques mois plus tard, quand ils commenceront à afficher les troubles que tout petit être normalement constitué développera dans des circonstances pareilles et un tel environnement. Mais ce n’est pas grave, d’ailleurs les services sociaux sont là pour s’occuper des conséquences des problèmes qu’ils ont eux-mêmes créés quelques mois plus tôt !
Pourtant, seul le procureur ou le juge des enfants sont censés avoir le droit d’ordonner de telles mesures : mais ces structures et associations agissent par elle-même, et court-circuitent les dispositifs légaux existants, se plaçant à la fois juge et partie dans leurs interventions. Les pères étant le plus souvent dans l’effet de surprise et l’ignorance des lois, ils sont totalement démunis face aux interventions brutales, expertes (et secrètes) auxquelles ils ont à faire face. Ostracisations sociales suite aux dénonciations calomnieuses, faillites personnelles, soucis de santé, voir tendances au suicide (ici) : les pères sont devenus les victimes des « protecteurs ». Avec, bien évidemment, les enfants.
Bravo, et merci Mesdames. Toutes nos félicitations !
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Autant il est nécessaire, recommandable et appréciable de s’occuper des plus faibles d’entre nous, d’aider les anciens détenus à s’insérer, et de protéger les personnes véritablement en danger… Autant la systématisation des mesures de protection sans vérification, le parti-pris constant et unilatéral en faveur des mères dans les conflits familiaux, sont dangereuses et contre-productives pour notre société et nos enfants.
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Nous sommes allés trop loin dans l’assistance et les mesures de protection des mères et des enfants en Dordogne. Au départ certainement bien intentionnée, la machine s’est emballée. Les intervenants ne vérifient plus rien. Ils agissent avec brutalité, par habitude et par réflexe. Les démarches sont à sens unique.
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Tout ceci coûte énormément d’argent. Il y a de toutes évidences de très gros intérêts économiques. De nombreux acteurs se greffent autour de ces interventions pour proposer des prestations « commerciales ». Il faut cesser d’utiliser de l’argent public pour générer du malheur en faisant n’importe quoi avec nos enfants, et il faut arrêter de tolérer que certains s’enrichissent et fassent leur beurre sur les conflits familiaux et les drames de nos familles.
Voici les organisations concernées par ces désastre sociaux (avec exemples de pratiques, nombre d'employés, budgets, subventions, détails administratifs, etc...) :
Nous recherchons des témoignages de pères victimes d'abus de la part de ces structures : contactez-nous !
APARE (Périgueux)
article à suivre
ASD (Périgueux)
article à suivre
Escale (Sarlat La Canéda)
article à suivre
Atelier (Bergerac)
article à suivre
Addendum 25/09/2018 : devant la gravité de ce que nous avons trouvé dans la gestion et les actions de ces structures, nous avons décidé de ne pas publier nos articles les détaillants individuellement. En effet, notre but n'est pas de casser et de détruire ces structures d'aides, mais seulement de les forcer a devenir meilleures. Et il y a du travail, car entre les soupçons d'enrichissements personnels, de détournements de fonds, de fausses déclarations pour avoir les subventions, et les multiples infractions au code pénal, nous sommes dans un véritable nid de guêpe. Travailler dans le secret, finalement, semble pouvoir générer beaucoup d'avantages pour pas mal de monde dans ces structures !