Nous suivons depuis plusieurs mois les détails de l'affaire d'Arnaud A.P., avec qui nous avons communiqué début Janvier 2019. 

Cette affaire est typique et caractérisitique, car elle présente tous les éléments malheureusement habituels et donc inacceptables contre lesquels nous nous soulevons encore aujourd'hui :

  • Un père qui a très fortement en lui l’instinct paternel, et qui souhaite participer activement à la vie et à l’éducation de son plus jeune enfant. Il en a déjà plusieurs, dont l'un en résidence alternée issu d'une union précédente.
  • L’exclusion parentale organisée par la mère après la rupture du couple, en utilisant l’enfant pour faire du mal à son ex-conjoint, tout en abusant d'une position victimaire qui n'est à ce jour justifiée par aucun élément.
  • La tentative de racket de tous les organismes concernés ainsi que de la mère : leur seul but à tous semble être de tenter de soutirer de l’argent au père pour le reverser à la mère, tout en empêchant celui-ci d'accéder à son enfant.
  • La partialité lente et intolérable du tribunal qui ne respecte pas non plus les lois existantes en matière de non-discrimination homme/femme (Article 1 de la constitution Française), en ne prenant en compte que les pièces maternelles, en donnant tout pouvoir de décision à la mère, le tout en réduisant le père à un rôle de sponsor et de donneur de gâteaux durant quelques heures toutes les 2 semaines  (Ladite lenteur entraînant d’ailleurs un pourrissement et une accentuation du conflit autour de l’enfant).
  • Les intermédiaires obligatoires (avocats) qui facturent des interventions qui, de toutes évidences, sont aussi improductives que répétitives et habituelles. Dans une société de forte recomposition familiale, ils sont (avec les experts et les services sociaux) les grands gagnants des conflits familiaux qui endommagent tant de nos enfants et tant de parents.
  • Et donc, comme bien souvent, l’incompétence crasse desdits services sociaux qui, mis à part facturer leurs interventions aux contribuables via leurs demandes de subventions en croissance constante, sont incapables de gérer quoi que ce soit ni surtout de respecter les lois actuelles. Il affichent (comme malheureusement bien souvent) une ligne totalement anti-père.
  • La présence de victimes collatérales : l’exclusion concerne également tous les membres de la belle famille (grands parents, demi-frères etc). L'enfant concerné est privé de toute la moitié de sa famille.
  • L’activisme des proches de la mère qui rentrent avec impunité dans le conflit en engendrant violences et voix de faits contre le père pour tenter de le repousser et surtout de l'éradiquer de sa paternité.
  • L'absence totale d'aide et de soutien auprès du père qui doit se démener tout seul, se former et se consacrer avec toute son énergie dans un environnement difficile à appréhender et qui lui est ouvertement hostile.

Cette configuration est malheureusement encore habituelle aujourd'hui en 2019 dans les séparations conflictuelles avec jeune enfant en France. C’est pour que des situations comme celles-là ne deviennent plus possibles que nous nous battons.

Il FAUT que le législateur IMPOSE aux juges d’accorder la résidence alternée à tout parent qui le demande et dont le dysfonctionnement n’a pas été clairement démontré. Il est également NÉCESSAIRE que le délit d’atteinte à autorité parentale soit dorénavant pénalement répréhensible, et ce qu’il concerne des personnes physiques ou morales. Il faut également ACCÉLÉRER le traitement des affaires familiales concernant l'enfance, et IMPOSER aux forces de l’ordre de faire appliquer les lois existantes sans discrimination de genre.

=> la vidéo résumant cette triste et longue affaire :
https://www.facebook.com/nono59210/videos/2348002738815794/

Sur les groupes Facebook du mouvement Équité Parentale, nous voyons arriver de nouvelles victimes chaque semaine. C’est un flot constant qui ne s’interrompt jamais. Nous sommes d’ailleurs surpris qu’aucun carnage n’ait encore eu lieu dans un tribunal familial de notre pays. Prions pour que cela ne soit d’ailleurs jamais le cas.

Tous ces parents victimes n’ont pas la force morale et le courage d’Arnaud, qui se bat pour son enfant, très certainement au détriment de sa santé et de sa vie professionnelle. Nous lui souhaitons d’ailleurs beaucoup de courage, de persévérance, et surtout de savoir rester dans la sagesse et la mesure dans l’intérêt de tous y compris de lui-même.

Il est d'ailleurs appréciable de constater que devant tant d'injustices et de douleurs, ce papa n'ait jamais franchit la ligne rouge mais continue de tenter tout ce qui est en son pouvoir et en ses capacités, dans le but d'accéder à son rôle de père contemporain, celui qu'il est en droit de légitimement réclamer et que la loi lui accorde depuis au moins 2002.

Courage Arnaud.

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