Tous les moyens sont bons pour décridibiliser un parent : voici comment les assistantes sociales du département de Dordogne ont utilisé le Coryza du chat pour placer un enfant :
- La famille récupère un chaton non sevré de quelques jours à peine dans des broussailles du jardin, probablement après que la portée se soit faite décimée par un renard ou une bête sauvage. Le chaton a des croûtes sur les yeux et va mourir. Le vétérinaire annonce que le pauvre petit animal est malade du Coryza, qu’il le sera toute sa vie, mais qu’on peut le sauver et en faire un chat d’appartement avec une espérance de vie plus réduite que la normale, certes, mais une bonne vie tout de même. La famille garde le chaton, le sèvre, et en fait un compagnon familial.
- Plusieurs années passent : le chat grandit dans son appartement familial, avec son ulcère à l’œil, ses croquettes de Lysine, et malheureusement ses larmes aux yeux qui parfois, lui font des légères marques sur le pelage. Exceptés les membres de la familles et les invités, il ne fréquente pas d'autres humains, est relativement farouche et donc méfiant envers les inconnus.
- Séparation familiale, situation conflictuelle, le chat reste avec le père, l'enfant est en résidence alternée, procédures multiples.
- Encore quelques années plus tard : une Information Préoccupante (IP) calomnieuse, initiée par la maman, entraîne une enquête pour violence et donc la visite de 2 assistantes sociales chez le père durant 1h30, pour visiter l’appartement et lui poser des questions, sans que celui-ci n’ait la moindre idée de ce dont il s’agissait réellement. Durant cette visite, le chat se tient respectueusement à l’écart et ne souhaite pas se faire approcher par ces inconnues. Effectivement, ce jour-là (et comme très souvent), il y avait une petite marque noire dans le pelage sous l’un des yeux du chat (larmes de Coryza). Aucune mention particulière n’est faite à ce sujet durant l’entretien. Les assistantes sociales, très autoritaires, posent leurs questions, inspectent les lieux, puis repartent avec le sourire en disant que tout va bien.
- Surprise, quelques semaines plus tard, le père reçoit un courrier lui indiquant que le procureur a décidé de saisir le juge des enfants suite à cette Information Préoccupante et la visite de ces dames. Au final, il y aura un placement de l’enfant, demandé par les services du département.
- PLUS D'UN AN PLUS TARD, le père apprendra par hasard durant une audience au Juge des enfants, au détour d'une réflexion de la juge durant cette audience, qu’il est écrit quelque part, dans un document confidentiel dont ni lui ni son avocat n'avaient connaissance, et qu'ils n’ont jamais été autorisés à consulter, que celui-ci soit-disant tabasse son chat, lequel vivrait recroquevillé et terrorisé dans un coin d’une pièce avec des « coquards / yeux au beurre noir » dus à des coups de poings de la part de Monsieur.