« Toute bonne volonté est bonne à prendre. »
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=> Nous sommes experts de nos dossiers et de nos vécus, que nous pouvons partager avec vous si vous le désirez, dans le cadre d’un soutien moral, voire dans certains cas effectuer du coaching et du suivi personnalisé. Mais en aucun cas, nous ne sommes présents pour se substituer aux avocats et à leurs devoirs de conseils, et nous ne fournissons pas de conseils juridiques. Merci ! 🙂
=> Membre fondateur (puis président) de l’Association Équité Parentale (www.EquiteParentale.com) W243008822
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=> Émission Famille Justice Enfance sur Radio Libre en Périgord 102.3FM le vendredi 20h/20h30, rediffusée le mercredi 16h (disponible sur Internet)
Septembre 2021 : En raison du Covid, les permanences sur Périgueux sont suspendues. Merci de prendre connaissance des 2 vidéos suivantes qui résumeront la plupart de ce que vous auriez pu y trouver si vous en aviez eu besoin :
Note du Webmaster, auteur des articles, des émissions de radio etc : Pour soutenir mon travail, mes frais juridiques (plusieurs dizaines de milliers d’euros), la baisse d’activité de mon entreprise liée à la pollution de mon affaire personnelle… Plus de 10 ans de combats pour mon enfant et ceux ces autres… Ce n’est pas facile tous les jours, merci pour votre support !
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Bonjour,
A toute fin utile, un message pour expliquer ma situation, que certainement d’autres connaissent, ou ont connu…
Alors que mes enfants avaient 4 et 8 ans nos divergences d’envies avec la mère nous ont conduit à moins nous aimer et elle est donc partie avec les enfants chez ses parents.
En fait elle a orchestré un faux « déménagement familial ». Elle est partie et je devais les rejoindre, puis après avoir inscrit les enfants dans leur nouvelle école elle a avoué à tous (certains avant) qu’il s’agissait en vrai d’une séparation mais qu’elle voulait garder les enfants.
J’avais une relation très fusionnelle avec eux, c’est moi qui faisait les histoires, les bains, la cuisine, les sorties dans les parcs…On pourrait dire de manière stéréotypée, que j’étais « la maman » et ils pleuraient à chaudes larmes chaque week-end quand je les retrouvais.
J’ai rapidement compris que si la justice, à ce stade, me permettait de « forcer » le retour des enfants dans le foyer familial, il ne s’agissait pas, pour eux, de la meilleure solution…Comment les préserver dans cette situation de rupture ?
Atteint du syndrome du gars « trop gentil », elle a pris la voiture familiale et à vidé les comptes avant que je puisse déclarer la rupture de PACS puis m’a laissé seul payer seul les traites de crédit exorbitantes de la maison. Elle m’a « coincé », à pied et sans argent, impossible de quitter mon travail et de me rapprocher rapidement des enfants.
Pendant 1 an, j’ai marché 15km par jour pour me rendre à mon travail, souvent sous la pluie. J’ai pris des colocataires pour payer les traites et pour voir mes enfants à 300km tous les week-ends.
Quand j’ai pu avoir un peu d’argent, j’ai payé en plusieurs fois un avocat pour garantir la garde des enfants au moins un week-end sur 2, le temps d’être près d’eux, la mère a demandée alors une garde quasi exclusive, me laissant un seul week-end par mois, y-compris pendant les vacances scolaires sous prétexte que les enfants sont « trop excités quand ils sont avec moi et que nous passons nos week-end à nous amuser alors que les éduquer nécessite d’être sérieux ».
Heureusement, la juge a alors expliqué que ce n’était pas (du tout) une raison recevable, que j’avais mes droits et que la pratique installée du week-end sur deux, resterait de rigueur le temps d’effectuer un bilan psychiatrique de tous et une audition de mon ainée.
En audience et lors de son bilan, mon aînée a expliquée qu’elle souhaitait la garde alternée et que sa mère s’occupait pas beaucoup d’eux ; qu’ils été laissé aux (soins) des grands parents retraités…
Les bilans ont (bien sûr) montré que j’étais tout à fait apte à éduquer et soigner mes enfants, mais ont aussi rappelé / indiqué que la mère est sous suivis et médicaments pour anxiété généralisée depuis des années et que sa souffrance se répercute négativement sur les enfants. Et entre temps, j’ai pu trouver (enfin) un emploi stable et un logement a 2km des enfants.
Seulement, encore une fois, ces procédures prennent des mois et je ne vois toujours pas plus mes enfants alors que je suis à présent tout près d’eux…ils habitent chez les grands parents et mon fils m’appelle « Papy », me dit que quand je lui manque il doit faire « comme si j’étais mort », il me reproche de ne pas être là pour voir ses entraînements de rugby…
Je me suis rendu au second jugement couvert (une nouvel fois) de bons témoignages (et non pas de faux comme à ceux qu’à fait faire la mère a des inconnus qui ont dit que je ne m’occupe pas des enfants ou qu’ils n’ont pas l’air d’être bien avec moi…).
Et là, sans aucune raison, le juge a décidé de ne pas m’accorder la garde alternée qui me revient de droit…Mon avocate m’a dit que sous le « trop-plein de dossier à gérer » ils ont probablement fait un maladroit « copier/coller » du jugement précédent qui indiquait que « le week-end sur deux est la pratique déjà instaurée »…Est-ce que c’est possible ? Est-ce qu’ils ont réellement pu ne rien lire du dossier ? C’est pour cette qualité de travail que je paye leur salaire ?
Tout le monde autour de moi est abasourdis, qu’est-ce que c’est que cette justice ? Certains de mes témoins étaient prêts à se couper la main sur l’issue du jugement…Est-ce qu’ils se rendent compte de ce que représente pour un parent le droit fondamental d’être là pour son enfant ? Et pour les enfants le droit d’avoir leur père ?
La procédure d’appel est à présent lancée mais impossible à priori d’attaquer la juge…alors qu’il s’agit là d’un véritable scandale…Comment peut-on laisser « gagner » une aussi mauvaise personne… ? Qui use de mensonges, de chantage et d’aliénation parentale ? Qui dit (et écrit) que les enfants pourront me voir plus souvent s’ils restent avec elle, si je retire l’appel, qui leur répond quand ils me réclament que « ce n’est ni eux, ni moi, qui décidons… ».
Beaucoup de monde est mort pour nos lois, nos droits et libertés…, pour faire en sorte que ces situations ne soient pas normales et qu’elles ne puissent pas arriver. On doit le dire, le défendre et le redire, être nombreux à ne pas laisser faire pour que les choses changent. Depuis quand les vols d’enfant sont effectués avec la bénédiction des juges ?
Je n’ai pas beaucoup d’argent pour le moment pour faire un don sur ce site, mais j’en ferais un dès que je le pourrais et il est certain que cette affaire n’en restera pas là. Je suis bien décidé à aider les personnes qui pourraient souffrir d’injustices de cet acabit. Merci vraiment pour ce site et pour tout ce que vous faites. J’espère que mon témoignage pourra aider. Nous ne sommes pas seuls.
Bonjour
Merci de votre témoignage, qui est une preuve supplémentaire de l’impuissance et l’incurie de notre système national de résolution des conflits familiaux et de défense de nos droits parentaux.
La meilleure solution consiste à surtout tenter d’éviter d’y avoir à faire pour éviter de se ruiner, de perdre sa santé, et surtout ses enfants.
Bon courage dans vos épreuves.